Philippe Teyssier, apiculteur professionnel depuis 2011, a hérité de la passion familiale pour l’apiculture. Depuis les années 2000, il constate une mortalité moyenne de 20 % de ses colonies, mais en 2021, il subit un effondrement massif avec 65 % de pertes, sans cause évidente. Malgré divers traitements contre le varroa et un renforcement de son cheptel, il continue à observer des pertes importantes en printemps 2024. L’analyse qPCR du portage des pathogènes de l’abeille PathoBee révèle la présence de Nosema ceranae et de virus à des niveaux mortels. Sur les conseils du Dr vétérinaire Grosmond, il applique le protocole Bee’Full Plus, entraînant une nette amélioration de la santé des colonies. Il remet en question l’importation d’abeilles et prône une apiculture locale et raisonnée, rejetant progressivement les traitements chimiques pour des alternatives plus naturelles. Son témoignage appelle à une apiculture française plus autonome et respectueuse des abeilles.
Témoignage:
Je suis Philippe, j’ai 36 ans, je suis apiculteur professionnel depuis 2011.
Issu d’une famille d’apiculteurs, j’ai la chance de côtoyer les abeilles depuis mon plus jeune âge. Malheureusement, depuis plusieurs années, la santé des colonies s’est dégradée, et particulièrement ces trois dernières années me concernant. Depuis les années 2000, l’exploitation a pour valeur constante des pertes de colonies d’en moyenne 20% (à plus ou moins 10%). Celles-ci sont auto-renouvelées par les essaims que nous produisons.
Mon exploitation, comptait environ 500 ruches en 2021, composées d’abeille noir en majorité. Mais en octobre 2021, j’ai été confronté pour la première fois à un effondrement massif de mes colonies. Lors du nourrissement d’automne, j’ai observé mes ruches se vider. J’avais pourtant réalisé mon traitement anti-varroa avec deux lanières d’Apistan pour la deuxième année consécutive, après avoir utilisé Apivar auparavant. Je me suis interrogé : accoutumance du varroa, inefficacité du traitement, problème avec le sirop de nourrissement, frelon asiatique ? Les analyses de sirop n’ont révélé aucune anomalie, aucune présence de maltose. Malgré la présence du frelon, il semblait invraisemblable qu’il soit la seule cause d’une perte de 65% de mes colonies.
Et oui vous avez bien lu, je dénombre 65% de pertes de cheptel lors de mon traitement hivernal de décembre 2021 à l’acide oxalique. Au nettoyage en sortie d’hiver je constate de gros signes de nosémose dans et devant les ruches.
Au printemps 2022, je me réveille avec la gueule de bois.
Mes nouveaux essaims de 2021 ayant normalement pour rôle de repeupler mon cheptel sont perdus.
Mes ruches de production survivantes sont trop faibles pour prélever quoi que ce soit.
La désolation…
Face à cette catastrophe, j’accepte un second emploi pour assurer mes finances. Grâce à ma trésorerie et à ma détermination, je décide de me relever en achetant 200 essaims buckfast, bien que je préfère l’abeille noire. Refusant l’import dans le domaine de l’apiculture, façon de procéder qui n’a apporté que des maladies et parasites à l’apiculture française, je me fournis dans un département voisin.
La saison 2022 est difficile, avec la totalité de mes 450 colonies en reconstruction ce qui implique une très mauvaise récolte :
Aout 2022 traitement à l’Apivar à contre cœur car j’avais en tête de virer tous ces produits chimiques de mes ruches le plus rapidement possible.
Octobre 2022 nourrissement au même sirop que 2021.
Décembre 2022 traitement à l’acide oxalique.
Printemps 2023 RAS retour à la “normalité qui n’en ai pas une” avec environ 15% de pertes.
J’en profite pour élever de nouvelles reines sur mes “vieilles colonies” afin de remplacer le plus possible de reines buckfast et ainsi ramener la race d’abeille noire (ou le plus possible !) qui me correspond.
L’année 2023 s’écoule:
Traitement en aout 2023 avec des lanières Apitraz ainsi que des bandelettes acides oxalique pour essai dans diverses ruches au sein des 9 ruchers.
Nourrissement en octobre 2023 avec le même sirop que précédemment.
Traitement à l’acide oxalique en décembre 2023.
Mauvaise surprise au printemps 2024 dans 2 ruchers sur les 9 qui subissent chacun 60% de perte de colonie.
Il semblerait impossible d’espérer transhumer et faire du miel en 2024 avec les colonies survivantes au vu du peu d’abeille qu’il reste à l’intérieur.
C’est la confusion totale, je ne comprends pas d’où cela peut venir, quelle en est la cause : traitement, nourriture, frelon, humidité, froid, produit chimique, ou un cocktail multifactoriel de tous les éléments précédents ? Tout s’emmêle dans mon esprit.
J’achète de nouveau 40 essaims, toujours en production locale.
Je me procure alors 2 kits d’analyses qPCR de portage des pathogènes de l’abeille (PathoBee) afin de faire réaliser en mars 2024 une analyse pour chacun de mes deux ruchers impactés.
Le Docteur GROSMOND découvre, sans surprise, la présence de nosema ceranae au sein des deux ruchers ainsi que la présence de deux virus présents à des taux mortels pour le Premier et 3 virus présents à des taux mortels pour le deuxième.
Immédiatement, avant même le retour papier des analyses, le Docteur GROSMOND prend soin de me contacter par téléphone, en week-end, afin de me conseiller de mettre en place immédiatement le protocole à base de Bee’Full Plus.
Je réussi dès le lundi à me procurer rapidement du Bee’Full Plus en me rendant directement chez un distributeur heureusement proche de chez moi.
J’applique le protocole suivant :
Rucher 1 : 8ml de Bee’Full Plus par litre de sirop 50/50. J’ai donné 1/4 de litre par ruche toutes les 48 heures à raison de 5 passages.
Rucher 2 : 15ml de Bee’Full Plus par litre de sirop 50/50. J’ai donné 1/2 litre par ruche toutes les 48 heures à raison de 5 passages.
Un mois après je constate une explosion des deux ruchers traités, avec un fort développement des colonies au préalablement moribondes et ce malgré un printemps 2024 où il nous a fallu nourrir régulièrement pour maintenir nos ruches en vie tellement la météo était défavorable !
Puis, je réussis tout de même à effectuer une récolte d’été très satisfaisante sur ces mêmes ruches alors que quelques mois avant je pensais ne même pas prendre la peine de les transhumer !
Je clôture ma saison 2024 par un traitement 100% acide oxalique, en débarrassant enfin mes ruches des autres molécules chimiques.
En septembre 2024 je réalise un très faible complément de provision.
A l’issue je mets en place mi-septembre 2024, sous les conseils du Docteur GROSMOND, un protocole de Bee’Full Plus afin de préparer la grappe hivernale et de protéger mes abeilles contre nosema ceranae ainsi que les virus liés au varroa et autres.
Ce protocole a été de 12ml de Bee Full Plus par litre de sirop 50/50, j’ai donné 1/4 de litre par ruche toutes les 48 heures à raison de 4 passages.
Evidemment j’ai besoin d’une grande quantité de Bee’Full Plus et d’un point de vue financier cela me fait une somme à sortir. Mais vaut-il mieux que je prenne soin de mes abeilles en essayant de minimiser au mieux les pertes hivernales? ou ne rien faire et sortir 20 fois plus d’argent au printemps pour racheter des essaims ?
Les conseils et conférences du Docteur GROSMOND m’ont fait conscientiser que les abeilles sont aussi sujettes à des virus et d’autres pathogènes.
Je souhaite vous partager mon opinion personnelle au sujet du commerce mondial d’abeilles.
A titre personnel, cela me conforte dans l’idée de lutter contre le commerce mondial d’abeilles et de reines.
Je constate encore une fois la négativité des importations, qui pour exemple et parmi tant d’autres, nous ont amené le varroa dans les années 90, et nous amène à découvrir les virus transmis par le varroa aujourd’hui.
Nos anciens ont commis l’erreur d’échanger mondialement des abeilles, leurs maladies et acariens avec. Et nous, générations suivantes en payons les conséquences. Cela m’est intolérable de laisser des gens promouvoir encore de telles pratiques, alors que notre apiculture française compte d’excellents apiculteurs, je parle bien de ceux qui connaissent le terrain et non les quelques qui parcours uniquement les organisations institutionnelles.
Nous avons en France d’excellents éleveurs, inutile de continuer d’importer ! pour gagner deux mois d’avance sur la saison, foutaise !
Faisons honneur à notre Autonomie, soyons Français !
D’autant plus que les protocoles de Bee’Full Plus du Docteur GROSMOND pourraient peut-être aider les éleveurs à nous fournir des essaims en bonne santé ?
J’ai également de part ces aléas, concrétisé la démarche de me séparer des molécules de traitements chimiques que j’utilisais depuis plusieurs années, afin de me diriger, bien qu’étant contre l’appellation miel Bio, vers une façon de faire plus “raisonnée et similaire”. Expérience à suivre !
Avec mes sincères remerciements.
En espérant que nous avancerons tous ensemble, l’égo de certains de côté, pour une meilleure santé de l’abeille et une Apiculture Française rayonnante!
Philippe
TEYSSIER Philipe
APICULTURE TEYSSIER
Region :Auvergne-Rhône-Alpes
FERME DES CARLINES
La Ferme des Carlines avec ses 180 brebis adultes de race Lacaune et Basco-béarnaise ainsi que 4 vaches et ses 3 associés est une exploitation agricole à taille humaine. Elle est située en haute montagne à Aulon où ses surfaces exclusives d’herbe profitent à nos animaux. La production laitière des brebis est totalement transformée sur la Ferme et les fromages sont vendus principalement en vente directe : accueil à la Ferme tous les soirs (sauf dimanche) à partir de 16h30. Notre exploitation travaille en Agriculture Biologique depuis 25 ans, nous portons par ailleurs un grand intérêt pour le bien-être animal : nous transmettons ces idéaux à travers les visites au public.
Nous avons découvert Solu’Nature grâce à leurs formations mensuelles techniques. La Ferme étant concernée par l’immunothérapie depuis longtemps (apport de minéraux et oligo-éléments au quotidien, analyse de laine), elle utilise désormais les produits de la gamme Solu’Nature principalement les oligo éléments qui sont distribués régulièrement à l’eau de boisson des animaux (pompe doseuse).
Élevage de 100 mères Blondes d’Aquitaine au pied des Pyrénées pratiquant le pâturage tournant et du vêlage à deux ans, deux associés. Élevage des génisses à l’herbe au pied des mères avec un objectif d’optimisation du système immunitaire des animaux. Élevage engagé HVE3, bas-carbone et très engagé sur le préventif en élevage.
Je travaille avec les produits Solu’Nature depuis 4 ans maintenant, principalement sur deux domaines : le nouveau-né avec l’objectif de booster l’immunité des veaux issus des 1er vêlage à la base, maintenant mise en pratique sur tous les veaux. J’utilise Défi’Flor et Défi’Mix avec observation confirmée d’effet sur les croissances des veaux et le confort pour l’éleveur. Nous testons maintenant Défi’OL pour la préparation à la reproduction des primipares, avec une réduction de l’anœstrus et des chaleurs plus visibles sur deux années à poursuivre… Et nous débutons le test de Défi’Transit sur quelques veaux suite à une précision crypto spécifique à cette année.
LAGARONNE Maryvonne
GAEC AU FIL DU SAISON
Region :Nouvelle-Aquitaine
GAEC DE BOUSSAC
Exploitation de 120 Ha sur 3 sites autour d’Arpajon sur Cère et de Saint Simon, 85 VA en race limousine, 23 Ha de céréales pour permettre l’engraissement de nos animaux, exploitation de nos forêts et une petite activité de maraîchage.
2 Chefs d’exploitation, Cyril et Béatrice. En AB depuis 2015.
Solu’Nature nous a apporté une solution pour combattre les diarrhées et offrir plus d’immunité aux veaux.
BROMET Béatrice
GAEC DE BOUSSAC
Region :Auvergne-Rhône-Alpes
RIOL Philippe
On élève 45 vaches laitières de race Montbéliarde en stabulation libre pendant la période hivernale sur le site du Mas de Sedaiges et pendant la période estivale nous trayons au champ en salle de traite ambulante à La bastide du Fau. Sur ce site, nous produisons du fromage AOP Cantal et Salers et du beurre disponibles en vente directe à la fromagerie.
Les produits Solu’Nature, nous permettent d’améliorer le confort de l’animal pour des problèmes du quotidien (plaies au trayon, diarrhée des veaux, déficit immunité…) sans utiliser d’antibiotiques. On ne connaissait pas l’entreprise et on nous a parlé de Solu’Nature, nous avons essayé des produits et nous en sommes très satisfaits.
Philippe Teyssier, apiculteur professionnel depuis 2011, a hérité de la passion familiale pour l’apiculture. Depuis les années 2000, il constate une mortalité moyenne de 20 % de ses colonies, mais en 2021, il subit un effondrement massif avec 65 % de pertes, sans cause évidente. Malgré divers traitements contre le varroa et un renforcement de son cheptel, il continue à observer des pertes importantes en printemps 2024. L’analyse qPCR du portage des pathogènes de l’abeille PathoBee révèle la présence de Nosema ceranae et de virus à des niveaux mortels. Sur les conseils du Dr vétérinaire Grosmond, il applique le protocole Bee’Full Plus, entraînant une nette amélioration de la santé des colonies. Il remet en question l’importation d’abeilles et prône une apiculture locale et raisonnée, rejetant progressivement les traitements chimiques pour des alternatives plus naturelles. Son témoignage appelle à une apiculture française plus autonome et respectueuse des abeilles.
Témoignage:
Je suis Philippe, j’ai 36 ans, je suis apiculteur professionnel depuis 2011.
Issu d’une famille d’apiculteurs, j’ai la chance de côtoyer les abeilles depuis mon plus jeune âge. Malheureusement, depuis plusieurs années, la santé des colonies s’est dégradée, et particulièrement ces trois dernières années me concernant. Depuis les années 2000, l’exploitation a pour valeur constante des pertes de colonies d’en moyenne 20% (à plus ou moins 10%). Celles-ci sont auto-renouvelées par les essaims que nous produisons.
Mon exploitation, comptait environ 500 ruches en 2021, composées d’abeille noir en majorité. Mais en octobre 2021, j’ai été confronté pour la première fois à un effondrement massif de mes colonies. Lors du nourrissement d’automne, j’ai observé mes ruches se vider. J’avais pourtant réalisé mon traitement anti-varroa avec deux lanières d’Apistan pour la deuxième année consécutive, après avoir utilisé Apivar auparavant. Je me suis interrogé : accoutumance du varroa, inefficacité du traitement, problème avec le sirop de nourrissement, frelon asiatique ? Les analyses de sirop n’ont révélé aucune anomalie, aucune présence de maltose. Malgré la présence du frelon, il semblait invraisemblable qu’il soit la seule cause d’une perte de 65% de mes colonies.
Et oui vous avez bien lu, je dénombre 65% de pertes de cheptel lors de mon traitement hivernal de décembre 2021 à l’acide oxalique. Au nettoyage en sortie d’hiver je constate de gros signes de nosémose dans et devant les ruches.
Au printemps 2022, je me réveille avec la gueule de bois.
Mes nouveaux essaims de 2021 ayant normalement pour rôle de repeupler mon cheptel sont perdus.
Mes ruches de production survivantes sont trop faibles pour prélever quoi que ce soit.
La désolation…
Face à cette catastrophe, j’accepte un second emploi pour assurer mes finances. Grâce à ma trésorerie et à ma détermination, je décide de me relever en achetant 200 essaims buckfast, bien que je préfère l’abeille noire. Refusant l’import dans le domaine de l’apiculture, façon de procéder qui n’a apporté que des maladies et parasites à l’apiculture française, je me fournis dans un département voisin.
La saison 2022 est difficile, avec la totalité de mes 450 colonies en reconstruction ce qui implique une très mauvaise récolte :
Aout 2022 traitement à l’Apivar à contre cœur car j’avais en tête de virer tous ces produits chimiques de mes ruches le plus rapidement possible.
Octobre 2022 nourrissement au même sirop que 2021.
Décembre 2022 traitement à l’acide oxalique.
Printemps 2023 RAS retour à la “normalité qui n’en ai pas une” avec environ 15% de pertes.
J’en profite pour élever de nouvelles reines sur mes “vieilles colonies” afin de remplacer le plus possible de reines buckfast et ainsi ramener la race d’abeille noire (ou le plus possible !) qui me correspond.
L’année 2023 s’écoule:
Traitement en aout 2023 avec des lanières Apitraz ainsi que des bandelettes acides oxalique pour essai dans diverses ruches au sein des 9 ruchers.
Nourrissement en octobre 2023 avec le même sirop que précédemment.
Traitement à l’acide oxalique en décembre 2023.
Mauvaise surprise au printemps 2024 dans 2 ruchers sur les 9 qui subissent chacun 60% de perte de colonie.
Il semblerait impossible d’espérer transhumer et faire du miel en 2024 avec les colonies survivantes au vu du peu d’abeille qu’il reste à l’intérieur.
C’est la confusion totale, je ne comprends pas d’où cela peut venir, quelle en est la cause : traitement, nourriture, frelon, humidité, froid, produit chimique, ou un cocktail multifactoriel de tous les éléments précédents ? Tout s’emmêle dans mon esprit.
J’achète de nouveau 40 essaims, toujours en production locale.
Je me procure alors 2 kits d’analyses qPCR de portage des pathogènes de l’abeille (PathoBee) afin de faire réaliser en mars 2024 une analyse pour chacun de mes deux ruchers impactés.
Le Docteur GROSMOND découvre, sans surprise, la présence de nosema ceranae au sein des deux ruchers ainsi que la présence de deux virus présents à des taux mortels pour le Premier et 3 virus présents à des taux mortels pour le deuxième.
Immédiatement, avant même le retour papier des analyses, le Docteur GROSMOND prend soin de me contacter par téléphone, en week-end, afin de me conseiller de mettre en place immédiatement le protocole à base de Bee’Full Plus.
Je réussi dès le lundi à me procurer rapidement du Bee’Full Plus en me rendant directement chez un distributeur heureusement proche de chez moi.
J’applique le protocole suivant :
Rucher 1 : 8ml de Bee’Full Plus par litre de sirop 50/50. J’ai donné 1/4 de litre par ruche toutes les 48 heures à raison de 5 passages.
Rucher 2 : 15ml de Bee’Full Plus par litre de sirop 50/50. J’ai donné 1/2 litre par ruche toutes les 48 heures à raison de 5 passages.
Un mois après je constate une explosion des deux ruchers traités, avec un fort développement des colonies au préalablement moribondes et ce malgré un printemps 2024 où il nous a fallu nourrir régulièrement pour maintenir nos ruches en vie tellement la météo était défavorable !
Puis, je réussis tout de même à effectuer une récolte d’été très satisfaisante sur ces mêmes ruches alors que quelques mois avant je pensais ne même pas prendre la peine de les transhumer !
Je clôture ma saison 2024 par un traitement 100% acide oxalique, en débarrassant enfin mes ruches des autres molécules chimiques.
En septembre 2024 je réalise un très faible complément de provision.
A l’issue je mets en place mi-septembre 2024, sous les conseils du Docteur GROSMOND, un protocole de Bee’Full Plus afin de préparer la grappe hivernale et de protéger mes abeilles contre nosema ceranae ainsi que les virus liés au varroa et autres.
Ce protocole a été de 12ml de Bee Full Plus par litre de sirop 50/50, j’ai donné 1/4 de litre par ruche toutes les 48 heures à raison de 4 passages.
Evidemment j’ai besoin d’une grande quantité de Bee’Full Plus et d’un point de vue financier cela me fait une somme à sortir. Mais vaut-il mieux que je prenne soin de mes abeilles en essayant de minimiser au mieux les pertes hivernales? ou ne rien faire et sortir 20 fois plus d’argent au printemps pour racheter des essaims ?
Les conseils et conférences du Docteur GROSMOND m’ont fait conscientiser que les abeilles sont aussi sujettes à des virus et d’autres pathogènes.
Je souhaite vous partager mon opinion personnelle au sujet du commerce mondial d’abeilles.
A titre personnel, cela me conforte dans l’idée de lutter contre le commerce mondial d’abeilles et de reines.
Je constate encore une fois la négativité des importations, qui pour exemple et parmi tant d’autres, nous ont amené le varroa dans les années 90, et nous amène à découvrir les virus transmis par le varroa aujourd’hui.
Nos anciens ont commis l’erreur d’échanger mondialement des abeilles, leurs maladies et acariens avec. Et nous, générations suivantes en payons les conséquences. Cela m’est intolérable de laisser des gens promouvoir encore de telles pratiques, alors que notre apiculture française compte d’excellents apiculteurs, je parle bien de ceux qui connaissent le terrain et non les quelques qui parcours uniquement les organisations institutionnelles.
Nous avons en France d’excellents éleveurs, inutile de continuer d’importer ! pour gagner deux mois d’avance sur la saison, foutaise !
Faisons honneur à notre Autonomie, soyons Français !
D’autant plus que les protocoles de Bee’Full Plus du Docteur GROSMOND pourraient peut-être aider les éleveurs à nous fournir des essaims en bonne santé ?
J’ai également de part ces aléas, concrétisé la démarche de me séparer des molécules de traitements chimiques que j’utilisais depuis plusieurs années, afin de me diriger, bien qu’étant contre l’appellation miel Bio, vers une façon de faire plus “raisonnée et similaire”. Expérience à suivre !
Avec mes sincères remerciements.
En espérant que nous avancerons tous ensemble, l’égo de certains de côté, pour une meilleure santé de l’abeille et une Apiculture Française rayonnante!
Philippe
TEYSSIER Philipe
APICULTURE TEYSSIER
GAEC DE BOUSSAC
Exploitation de 120 Ha sur 3 sites autour d’Arpajon sur Cère et de Saint Simon, 85 VA en race limousine, 23 Ha de céréales pour permettre l’engraissement de nos animaux, exploitation de nos forêts et une petite activité de maraîchage.
2 Chefs d’exploitation, Cyril et Béatrice. En AB depuis 2015.
Solu’Nature nous a apporté une solution pour combattre les diarrhées et offrir plus d’immunité aux veaux.
BROMET Béatrice
GAEC DE BOUSSAC
RIOL Philippe
On élève 45 vaches laitières de race Montbéliarde en stabulation libre pendant la période hivernale sur le site du Mas de Sedaiges et pendant la période estivale nous trayons au champ en salle de traite ambulante à La bastide du Fau. Sur ce site, nous produisons du fromage AOP Cantal et Salers et du beurre disponibles en vente directe à la fromagerie.
Les produits Solu’Nature, nous permettent d’améliorer le confort de l’animal pour des problèmes du quotidien (plaies au trayon, diarrhée des veaux, déficit immunité…) sans utiliser d’antibiotiques. On ne connaissait pas l’entreprise et on nous a parlé de Solu’Nature, nous avons essayé des produits et nous en sommes très satisfaits.
La ferme de Maily est une exploitation à dominance ovine avec une soixantaine de mères. Nous produisons en allaitant (agneaux élevés sous la mère) et nous vendons la viande en vente directe. Nous disposons également d’un accueil public à la ferme en tant que ferme pédagogique. Nous élevons en plus de nos brebis : des chèvres, des poneys, des cochons, diverses volailles et des lapins.
Solu’Nature apporte des VRAIES solutions naturelles pour tous mes élevages, pour limiter énormément l’utilisation de produits vétérinaires parfois invasifs et revenir à l’élevage au plus près des biens-faits que nous offre la nature. Les produits sont simples d’utilisation et vraiment efficaces, aussi bien à très court terme (résultats immédiats) qu’à long terme (pas de reprise ou retour des soucis sanitaires).
Élevage de 100 mères Blondes d’Aquitaine au pied des Pyrénées pratiquant le pâturage tournant et du vêlage à deux ans, deux associés. Élevage des génisses à l’herbe au pied des mères avec un objectif d’optimisation du système immunitaire des animaux. Élevage engagé HVE3, bas-carbone et très engagé sur le préventif en élevage.
Je travaille avec les produits Solu’Nature depuis 4 ans maintenant, principalement sur deux domaines : le nouveau-né avec l’objectif de booster l’immunité des veaux issus des 1er vêlage à la base, maintenant mise en pratique sur tous les veaux. J’utilise Défi’Flor et Défi’Mix avec observation confirmée d’effet sur les croissances des veaux et le confort pour l’éleveur. Nous testons maintenant Défi’OL pour la préparation à la reproduction des primipares, avec une réduction de l’anœstrus et des chaleurs plus visibles sur deux années à poursuivre… Et nous débutons le test de Défi’Transit sur quelques veaux suite à une précision crypto spécifique à cette année.
LAGARONNE Maryvonne
GAEC AU FIL DU SAISON
Ferme de Paufy
La Ferme de Paufy est une exploitation agricole située au coeur du massif forestier du sud-ouest Dordogne, à 20 kms de Bergerac. Nous élevons un troupeau de 65 vaches de race limousine qui se caractérise par ses qualités maternelles et sa rusticité. Les animaux vivent en plein air la majeure partie de l’année. Ils sont rentrés en stabulation pendant la saison hivernale de décembre à mars pour éviter le piétinement des sols. Nos pratiques d’élevage s’inscrivent dans le respect d’une agriculture durable et extensive en Périgord. L’exploitation est engagée en conversion Bio pour une certification définitive en 2022. Les troupeaux sont nourris avec les fourrages récoltés sur les 110 ha de prairies de l’exploitation. Nous pratiquons le pâturage tournant pour une utilisation optimale des pâtures. Les haies et les prés sont entretenus par broyage des plantes indésirables. Les prairies et les cultures fourragères sont enrichies organiquement par l’utilisation du fumier des bovins et des fientes des poules pondeuses qui sont préalablement enrichies de micro-organismes permettant à nos sols de leur apporter une matière organique “prête à l’emploi”. Nos ateliers sont complémentaires, permettant l’autonomie alimentaire du troupeaux. Lespratiques vétérinaires sont simplifiées du fait des bonnes conditions d’élevage et des mesures de prévention adaptées. Nous utilisons la phytothérapie et sommes attentifs à maintenir l’immunité des animaux au meilleur niveau.
Solu’Nature nous permet de disposer de solutions pour travailler sur l’immunité de nos animaux et les rendre “plus forts” face aux différents stress (passage viral, variations météorologiques, parasitisme…) qui se présentent à eux, tout en assurant les objectifs de production. Nous n’avons recours à l’antibiotique qu’en cas de pronostic vital. Nous apprécions l’efficacité des produits et la large gamme proposée. Le conseil personnalisé de notre vétérinaire qui nous suit est un véritable atout. Nous avons construit une relation de confiance avec quelqu’un qui est là pour nous accompagner de façon pérenne. Aujourd’hui, nous sommes réellement en phase avec nos élevages, sereins dans nos engagements envers nos animaux.
La Ferme des Carlines avec ses 180 brebis adultes de race Lacaune et Basco-béarnaise ainsi que 4 vaches et ses 3 associés est une exploitation agricole à taille humaine. Elle est située en haute montagne à Aulon où ses surfaces exclusives d’herbe profitent à nos animaux. La production laitière des brebis est totalement transformée sur la Ferme et les fromages sont vendus principalement en vente directe : accueil à la Ferme tous les soirs (sauf dimanche) à partir de 16h30. Notre exploitation travaille en Agriculture Biologique depuis 25 ans, nous portons par ailleurs un grand intérêt pour le bien-être animal : nous transmettons ces idéaux à travers les visites au public.
Nous avons découvert Solu’Nature grâce à leurs formations mensuelles techniques. La Ferme étant concernée par l’immunothérapie depuis longtemps (apport de minéraux et oligo-éléments au quotidien, analyse de laine), elle utilise désormais les produits de la gamme Solu’Nature principalement les oligo éléments qui sont distribués régulièrement à l’eau de boisson des animaux (pompe doseuse).
Nous utilisons des cookies sur notre site Web pour vous offrir l'expérience la plus pertinente en mémorisant vos préférences et les visites répétées. En cliquant sur « Tout accepter », vous consentez à l'utilisation de TOUS les cookies. Cependant, vous pouvez visiter les « Paramètres des cookies » pour fournir un consentement contrôlé.
Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience lorsque vous naviguez sur le site Web. Parmi ceux-ci, les cookies classés comme nécessaires sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels au fonctionnement des fonctionnalités de base du site Web. Nous utilisons également des cookies tiers qui nous aident à analyser et à comprendre comment vous utilisez ce site Web. Ces cookies ne seront stockés dans votre navigateur qu'avec votre consentement. Vous avez également la possibilité de désactiver ces cookies. Mais la désactivation de certains de ces cookies peut affecter votre expérience de navigation.
Les cookies nécessaires sont absolument essentiels au bon fonctionnement du site Web. Ces cookies assurent les fonctionnalités de base et les fonctions de sécurité du site Web, de manière anonyme.
Cookie
Durée
Description
cookielawinfo-checkbox-necessary
11 months
Ce cookie est défini par le plugin GDPR Cookie Consent. Les cookies sont utilisés pour stocker le consentement de l'utilisateur pour les cookies dans la catégorie "Nécessaire".
viewed_cookie_policy
11 months
Le cookie est défini par le plugin GDPR Cookie Consent et est utilisé pour stocker si l'utilisateur a consenti ou non à l'utilisation de cookies. Il ne stocke aucune donnée personnelle.
Les cookies fonctionnels aident à exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur les plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces.
Cookie
Durée
Description
cookielawinfo-checkbox-functional
11 months
Le cookie est défini par le consentement des cookies GDPR pour enregistrer le consentement de l'utilisateur pour les cookies dans la catégorie « Fonctionnel ».
Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site Web, ce qui contribue à offrir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.
Cookie
Durée
Description
cookielawinfo-checkbox-performance
11 months
Ce cookie est défini par le plugin GDPR Cookie Consent. Le cookie est utilisé pour stocker le consentement de l'utilisateur pour les cookies dans la catégorie « Performance ».
Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.
Cookie
Durée
Description
cookielawinfo-checkbox-analytics
11 months
Ce cookie est défini par le plugin GDPR Cookie Consent. Le cookie est utilisé pour stocker le consentement de l'utilisateur pour les cookies dans la catégorie « Analytics ».
Les cookies publicitaires sont utilisés pour fournir aux visiteurs des publicités et des campagnes marketing pertinentes. Ces cookies suivent les visiteurs sur les sites Web et collectent des informations pour fournir des publicités personnalisées.
Les autres cookies non catégorisés sont ceux qui sont en cours d'analyse et n'ont pas encore été classés dans une catégorie.
Cookie
Durée
Description
cookielawinfo-checkbox-others
11 months
Ce cookie est défini par le plugin GDPR Cookie Consent. Le cookie est utilisé pour stocker le consentement de l'utilisateur pour les cookies dans la catégorie "Autre.